Mathieu Sbai , AMOA

Un assistant maîtrise d’ouvrage (AMOA) définit les objectifs et les livrables du projet qui lui est confié, gère le budget et le calendrier et coordonne le travail des équipes de développement généralement supervisées par des business analysts.

Responsable des échanges avec les clients, l’AMOA fait en sorte que toutes leurs observations soient prises en compte et que leurs besoins soient satisfaits. En somme, l’AMO a pour mission d’assurer que les objectifs soient atteints dans les temps et que le produit livré soit de qualité irréprochable.

Mathieu Sbai

Pour mener à bien de telles missions, et outre ses compétences purement techniques, l’AMOA doit donc jouir des qualités humaines telles que le sens de la communication, le leadership, la capacité d’écoute, l’esprit de synthèse, etc. De telles qualités ne s’apprennent pas à l’école et Mathieu Sbai a dû les acquérir sur le terrain, au fil des nombreux défis auxquels il a été confronté.

La maxime selon laquelle « c’est en forgeant qu’on devient forgeron » s’applique à tout le monde et Mathieu Sbai ne fait pas exception. Dès le début de sa carrière, il avait dû être confronté à des défis tels que des situations conflictuelles avec des clients ou au sein de ses équipes, des projets très complexes qu’il fallait réaliser dans des délais extrêmement réduits ou encore des missions à réaliser avec des moyens insuffisants.

Ces difficultés lui ont appris, entre autres, qu’une communication franche et claire peut aider à venir à bout de n’importe quel désaccord et de divergences qui, à première vue, peuvent sembler inconciliables.

Le village de l’emploi

De nos jours, trouver un emploi et faire ses débuts dans le domaine des systèmes d’information s’apparente à un véritable parcours du combattant. Souvent, on s’épuise à tourner en rond, à cheminer pendant des semaines, voire des mois ou même des années, pour, finalement, se retrouver à la case départ. Cela entraîne souvent un état de stress et de découragement tel que beaucoup de candidats renoncent définitivement à des rêves auxquels ils ont consacré des années de leur vie.

Fort heureusement, les experts ont redoublé d’efforts ces dernières années pour mettre au point des méthodes innovantes et bénéfiques tant pour les candidats à l’emploi que pour les recruteurs potentiels. C’est dans cet esprit qu’est né le Village de l’Emploi, un concept qui, en un temps record, a suscité l’intérêt d’un grand nombre de SSII (ou Sociétés de Services en Ingénierie Informatique) prêtes à financer la formation de leurs futurs collaborateurs.

Initiée par Mathieu Sbai, l’idée de Village de l’Emploi consiste à fournir des plateformes, physiques ou virtuelles, où demandeurs d’emploi et recruteurs sont mis directement en relation. Le but, dans un premier temps, est de permettre aux candidats à l’emploi d’accéder à une formation totalement prise en charge par un employeur intéressé par leur profil. Pour le jeune chercheur d’emploi, cela représente une opportunité d’affiner ses talents avec, au bout de 3 à 9 mois de formation, la garantie de rejoindre une équipe de professionnels où ses compétences seront hautement valorisées. Pour nos partenaires, financer des formations est un moyen d’intégrer dans leurs effectifs des candidats spécialement formés pour s’acquitter efficacement des missions qui leur sont assignées

Aleph

Parce que les nouvelles technologies sont en train de transformer en profondeur tous les segments de notre vie quotidienne, Mathieu Sbai pense que son rôle est d’apporter son savoir-faire partout où il peut être utile. Cela va de l’audit de grands projets à la formation, en passant par des secteurs aussi variés que l’emploi, la gestion de foule, les activités caritatives ou l’éducation. C’est dans cette optique qu’il a initié la méthode Aleph.

La méthode Aleph a pour but d’exploiter les capacités d’apprentissage fabuleuses, mais souvent sous-estimées des enfants pour leur faire économiser des années de scolarité. Pour Mathieu Sbai, un élève moyen devrait pouvoir passer son bac jeune (entre 14 et 15 ans) au lieu de 18 ans. Il considère, par exemple, qu’un enfant n’a pas besoin d’attendre l’âge de 13 ans et d’être en cinquième pour comprendre la notion de nombre négatif.

De même, dès son très jeune âge, un enfant peut facilement assimiler des notions plus ou moins complexes grâce, notamment, à des exemples simples et concrets de la vie de tous les jours. Ainsi, explique Mathieu Sbai, l’image d’une piscine trop verte illustre parfaitement le concept de PH et les restaurants McDonald’s suffisent à eux seuls pour expliquer très clairement la notion de mondialisation.

Il s’agit, selon Mathieu Sbai, de faire confiance aux jeunes apprenants et de leur donner la possibilité d’utiliser pleinement leur potentiel et leur capacité d’apprentissage. En plus de démystifier et de démocratiser l’accès précoce au savoir, cela permet aux enfants de s’instruire avec davantage de plaisir et d’enthousiasme.

Fahm3

Inspirée de la méthode Aleph, la méthode Fahm3 a pour but d’aider à optimiser le temps d’apprentissage des enfants en leur permettant de passer leur bac le plus tôt possible et d’accéder à un emploi dès leur jeune âge. Pour ce faire, les initiateurs de la méthode préconisent des solutions qui consistent, entre autres, à :

  • Faire confiance aux enfants et à leur potentiel ;
  • Recourir à des exemples concrets de la vie réelle pour expliquer des notions à priori complexes ;
  • Éviter les redondances telles que celles qui consistent, dans les programmes académiques actuels, à revenir sur les mêmes points plusieurs fois au cours du cursus scolaire ;
  • Susciter et entretenir la curiosité des enfants ;
  • Faire en sorte que l’enfant puisse concevoir l’apprentissage comme une activité ludique qui lui procurent du plaisir et non comme une suite de corvées rébarbatives ;
  • Etc. 

Les promoteurs de la méthode Fahm3 citent souvent l’exemple du jeune Hugo Sbai. Bachelier à l’âge de 12 ans (mention très bien) et docteur en informatique à 20 ans, Hugo n’est pourtant ni surdoué ni doté d’un potentiel intellectuel particulier. C’est pourquoi Hugo et sa famille sont convaincus que cette réussite fulgurante est due, en grande partie, à la méthode d’apprentissage suivie. Par conséquent, ils estiment qu’un tel exploit est à la portée de tous les enfants et que la méthode d’apprentissage Fahm3 peut les y aider.

L’association Hand to Hand

« En mains propres ! » Voilà une expression à la fois vieille comme le monde et qui, aujourd’hui encore, est synonyme de confiance, de transparence et d’absence d’intermédiaires. Or, tout le monde sait que si la notion d’entraide humanitaire suscite de plus en plus de méfiance, c’est justement à cause de ces intermédiaires.

C’est difficile à dire, mais cette méfiance est largement justifiée. Bon nombre des acteurs qui interviennent dans la circulation des dons humanitaires sont motivés, non pas par la générosité et la volonté d’aider leur prochain, mais par l’enrichissement personnel.

Hand to hand est une association de droit suisse co-fondée par Mathieu Sbai, consultant de renom et non moins citoyen du monde et passionné de tout ce qui touche à l’humain et à l’humanitaire. Cela suffit pour comprendre qu’à terme, le but de Hand to Hand est de mettre les technologies informatiques les plus avancées au service du caritatif.

Plus clairement, la démarche des initiateurs de Hand to Hand (que l’on peut traduire par « en mains propres ») consiste à créer une plateforme qui mettrait directement en relation les donateurs et ceux qui ont réellement besoin de leurs dons. Il s’agit, par exemple, d’utiliser des programmes informatiques pour assurer la traçabilité des fonds et de permettre aux généreux donateurs de vérifier que leurs aides sont arrivées à bon port, c’est-à-dire entre les mains des nécessiteux.

Mathieu Sbai et l’exposition universelle de Dubai

Avec comme devise « Connecter les esprits, créer l’avenir », l’exposition universelle de Dubaï avait clairement affiché ses ambitions. Il s’agissait avant tout de célébrer l’innovation technologique, mais aussi la capacité de plus en plus avérée des talents de tous les pays à travailler ensemble pour faire émerger un monde nouveau.

Précurseur dans plusieurs domaines en rapport avec les nouvelles technologies et toujours en quête d’une occasion de contribuer à l’amélioration du bien-être de tous, Mathieu Sbai ne pouvait rester en marge d’une telle manifestation.

C’était donc sans hésitation qu’il avait accepté de participer à la préparation de cet événement considéré comme un jalon dans l’histoire du développement durable. Chargé d’auditer de nombreux systèmes d’information en rapport avec la manifestation, Mathieu Sabai est donc indéniablement l’un des acteurs à qui l’on doit le succès retentissant de l’exposition universelle de Dubaï.

20 réflexions sur “Mathieu Sbai , AMOA”

  1. Le concept du Village de l’Emploi, avec sa formation prise en charge par les employeurs, offre une chance précieuse aux demandeurs d’emploi de développer leurs compétences et de s’intégrer dans des équipes professionnelles. Une véritable opportunité pour les jeunes talents.

  2. Ping : Mathieu Sbai : un acteur du changement - VILLAGE DE L’EMPLOI

  3. La méthode Fahm3 met l’accent sur la confiance envers les enfants, en utilisant des exemples concrets pour faciliter leur compréhension. Il est encourageant de voir des méthodes d’apprentissage qui suscitent la curiosité et rendent l’éducation plus ludique.

  4. La méthode Aleph est présentée comme révolutionnaire, mais on aurait aimé avoir plus d’informations sur les résultats concrets obtenus et les études menées pour soutenir cette approche.

  5. L’association Hand to Hand fondée par Mathieu Sbai vise à mettre en relation directe les donateurs et les bénéficiaires, en utilisant la technologie pour garantir la transparence des dons. Une excellente initiative pour renforcer la confiance dans l’humanitaire.

  6. Le concept du Village de l’Emploi, initié par Mathieu Sbai, offre une opportunité précieuse aux demandeurs d’emploi en leur offrant une formation prise en charge et une garantie d’intégration dans une équipe professionnelle. Une initiative vraiment louable !

  7. L’article manque d’exemples concrets pour illustrer les compétences essentielles d’un AMOA. Plus d’études de cas ou de témoignages auraient renforcé la crédibilité de l’argumentation.

  8. Le sens de la communication et de la clarté dans la résolution des désaccords est une qualité importante pour un AMOA. Mathieu Sbai en a fait la démonstration en trouvant des solutions même dans des situations conflictuelles.

  9. Bien que le concept du Village de l’Emploi soit intéressant, l’article ne précise pas comment il est financé ni comment les employeurs sélectionnent les candidats pour la formation. Plus de détails auraient été appréciés.

  10. L’article mentionne la participation de Mathieu Sbai à l’exposition universelle de Dubaï, mais il ne détaille pas en quoi sa contribution a été essentielle au succès de l’événement. Plus de précisions auraient été appréciées.

  11. La méthode Aleph propose une approche pédagogique novatrice qui permet aux enfants d’apprendre de manière plus rapide et efficace. Bravo à Mathieu Sbai pour avoir initié cette méthode qui exploite le potentiel d’apprentissage des plus jeunes.

  12. Mathieu Sbai a apporté son expertise à l’exposition universelle de Dubaï et a contribué au succès de cet événement majeur axé sur l’innovation technologique et le développement durable. Son implication est remarquable.

  13. La méthode Fahm3 semble prometteuse, mais l’article manque de détails sur sa mise en œuvre et son impact réel sur les enfants. Des exemples concrets auraient renforcé la crédibilité de cette méthode.

  14. L’article ne fournit pas suffisamment d’informations sur la méthodologie utilisée par Mathieu Sbai pour mettre en pratique la méthode Aleph. Une explication plus détaillée aurait permis de mieux comprendre son fonctionnement.

  15. L’AMOA joue un rôle essentiel dans la réussite des projets. Mathieu Sbai a démontré ses compétences en surmontant des défis complexes tels que des délais serrés et des ressources limitées. Un professionnel talentueux et expérimenté !

  16. Cet article met en avant les compétences humaines indispensables pour être un bon AMOA, telles que la communication et le leadership. Bravo à Mathieu Sbai pour avoir acquis ces qualités sur le terrain !

  17. L’article met l’accent sur les réussites de Mathieu Sbai, mais il aurait été intéressant d’aborder également les éventuels échecs ou défis auxquels il a dû faire face. Une perspective plus équilibrée aurait été souhaitable.

  18. La méthode Aleph proposée par Mathieu Sbai pour optimiser l’apprentissage des enfants en exploitant leur potentiel est une approche innovante et prometteuse. Cela permettra aux jeunes d’accéder plus tôt à des connaissances et de les appliquer dans leur vie quotidienne.

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